Monsieur le Président.
Monsieur le président, La chanson prohibée de Luis Aguilé
Luis María Aguilera Picca, compositeur et chanteur, est né à Buenos Aires, en Argentine, le 24 février 1936. En 1990, Il obtint la citoyenneté Espagnol. À cette époque il était déjà célèbre en Amérique latine. Il est décédé à Madrid, en Espagne, le 10 octobre 2009 à l’âge de 73 ans. De son volumineux répertoire, cette chanson est la seule à tendance politique. Elle fut prohibée au Venezuela et censurée au Guatemala et en Argentine.
Yo soy un ciudadano, común y corriente, sólo tengo un voto, Que usted me ha pedido, como a tanta gente, a la que ha convencido. a que llegue ese día, lo que ha prometido. Sé muy bien que no es fácil, gobernar todo un pueblo, sin tener problemas, el pan a sus mesas. sin hacer excepciones, Que se imponga la Ley, no queremos perder nuestra forma de ser. de ganar el ladrón. ¡Proteger la Nación! Me han venido a encuestar, porque quieren saber, qué esperamos de usted. sea una prioridad. hay que entrar en razón, con firmeza y acción. Usted irá protegido, entre luces y motos, por la policía, de noche y de día. de una forma decente, Ahora somos el Reino de los Delincuentes. Que se imponga la Ley, … Nación! Cuando llegue a mandar, no sólo ha de ayudar, a los de su partido, como un elegido; de cambiar la Nación; y a su conveniencia, la Constitución. Y ahora sólo le pido, que mi humilde voto, no caiga en su olvido; Va con todo respeto, Señor presidente. | Je suis un citoyen, commun et courant, j’ai n’ai qu’un vote Que vous m’avez demandé, comme à tant de gens, que vous avez convaincu. Et je vous l’ai donné en attendant qu’arrive ce jour, Ou se réalisera, au pied de la lettre, ce que vous avez promis.
Je sais très bien que ce n’est pas facile de gouverner tout un peuple sans avoir de problèmes, Répartir la richesse, rendant à tous, le pain sur sa table. Et nous allons espérer que vous pourrez réussir, sans faire d’exceptions, Qu’iront en prison ceux qui doivent payer toutes leurs corruptions. Nous sommes des gens de paix. Que le voleur n’ait pas l’occasion de gagner. Puisque vous nous avez juré….. ! De protéger la Nation !
Ils m’ont enquêté parce qu’ils veulent savoir ce que nous espérons de vous. Que l’insécurité, dont nous voulons venir à bout, soit une priorité. Ne continuons pas ainsi, ça va mal, il y a lieu de revenir à la raison, Ceci doit changer, vous devez gouverner avec fermeté et action.
Vous vous promenez protégé entre les lumières et les motos de la police, Et nous sommes exposés aux crimes de nuit et de jour. L’on ne peut pas sortir, l’on ne peux pas vivre d’une manière décente, Déjà, nous ne sommes plus une nation. Maintenant, ns sommes le royaume des délinquants.
Que s’impose la loi, … Nation !
Quand vient le temps d’ordonner, ne doit pas aider seulement ceux de votre parti, Ne voudrait pas rester pour toute la vie comme un élu (de dieu) ; Ne pas se laisser attirer par cette tentation de changer la nation ; et d’arranger à sa mesure et à sa convenance, la Constitution.
Et maintenant, je demande seulement que mon humble vote ne tombe pas dans son oublie ; Lorsque vous assumé le pouvoir, vous avez la gloire dans la main et celle d’entrer dans l’histoire. Ne nous mentez jamais, n’utilisez pas la démagogie en trompant les gens. Accomplissez avec honneur. Avec respect, Monsieur le président. |
Traduction libre par Micha et Carlos
Février 2010
Bonne journée à toutes et à tous
Jocelyne Choquette
Formatrice agréée, coach et conférencière.